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         Pour conclure, nous pouvons constater que le statut de l'embryon n'est pas le même dans toutes les situations comme nous l'avons vu précédemment.

 

Dans l'avortement, l'embryon est expulsé hors de l'utérus. En fonction des religions et des pays le délai pour avorter est différent, car à partir d'un certain moment il n'est plus présenté comme un amas de cellules mais comme un être vivant à part entière. La procédure est règlementée et très stricte certaine lois de la bioéthique sont donc prises en compte. 

 

Dans le cas des bébés-médicaments au niveau des religions, il est refusé pourtant beaucoup de pays acceptent l’intervention du bébé sauveur. L’embryon est considéré comme le sauveur de son aîné, concernant la bioéthique cela est très règlementée et cette procédure n’est pas mise en œuvre souvent, car tous les porteurs de maladies génétiques ne peuvent avoir recours à cette procédure.

 

Enfin en ce qui concerne la gestation pour autrui, la procédure n’est pas tolérée dans toutes les religions, l’embryon à un rôle important, il est pris de la mère génétique vers la mère porteuse il a donc les gènes de sa mère biologique. Cette procédure n’est pas légale dans tous les pays.

 

Nous pouvons ouvrir notre sujet sur le clonage embryonnaire en s'interrogeant sur plusieurs questions éthiques ou encore morales. Le bébé peut-il être considéré comme un embryon normal ? Une fois né pourra-t-il être jugé comme une personne réelle d'une procréation naturelle ?

 

 

 

 

 

 

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